socialisme

  • 25/02 : Soirée du peuple, diffusion d'un reportage sur la vie sous le socialisme

    Que représente la vie dans un système où les travailleurs décident de la production ? Quelle place prend le travail ? Comment sont organisés les autres aspects de la vie : culturels, de loisirs, d'éducation des enfants etc.

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  • Diffusion de «Vivre à Rostov» / Débat sur le socialisme

    Dimanche 18 décembre 2022, à partir de témoignages d’ouvriers et ouvrières, le film "Vivre à Rostov" (1974) montre avec brio deux mode de production en totale rupture. En régime capitaliste-impérialiste en 2022 le chômage, l’endettement, les loyers et les prix chers sur les produits de premières nécessités constituent les problèmes quotidiens du prolétariat dans notre pays, amplifiés par la guerre impérialiste entre les ukrainiens et les russes. Pour les soviétiques 50 ans en arrière, ces « problèmes » n’ont plus de réalité matérielle avec des vies marquées par un accès à la culture permis par la socialisation des tâches domestiques (crèches dans chaque usine), les cours du soir, un temps de loisir dont le travail en constitue une facette et surtout, la paix entre les peuples travailleurs.

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  • Commémoration des 100 ans de l'URSS

    Dans un contexte que nous vivons de crise, de guerre, d'inflation, de chômage de masse, de misère, un autre monde est pourtant possible et nécessaire.

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  • Partie IV - Guerre froide et contre-révolution en RDA

    Dans le documentaire « UNE AUTRE VIE » (DAS ANDERA LEBEN), découpé en quatre épisodes (sous-titre traduit en français et en anglais), onze allemands de l’est sont interrogées, donnant un aperçu de la vie quotidienne et du fonctionnement de la société en République Démocratique Allemande du point de vue de leurs histoires de vie. L'évolution globale de la RDA, les conditions de sa fondation en 1949, la dynamique et les évolutions de la construction socialiste, et enfin le déclin de la RDA sont autant de thématiques abordées dans le film par les ex-citoyens de la RDA.

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  • Partie III - Démocratie et vivre ensemble sous le socialisme

    Dans le documentaire « UNE AUTRE VIE » (DAS ANDERA LEBEN), découpé en quatre épisodes (sous-titre traduit en français et en anglais), onze allemands de l’est sont interrogées, donnant un aperçu de la vie quotidienne et du fonctionnement de la société en République Démocratique Allemande du point de vue de leurs histoires de vie. L'évolution globale de la RDA, les conditions de sa fondation en 1949, la dynamique et les évolutions de la construction socialiste, et enfin le déclin de la RDA sont autant de thématiques abordées dans le film par les ex-citoyens de la RDA.

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  • Partie II - Le travail et l’économie sous le socialisme

    Dans le documentaire « UNE AUTRE VIE » (DAS ANDERA LEBEN), découpé en quatre épisodes (sous-titre traduit en français et en anglais), onze allemands de l’est sont interrogées, donnant un aperçu de la vie quotidienne et du fonctionnement de la société en République Démocratique Allemande du point de vue de leurs histoires de vie. L'évolution globale de la RDA, les conditions de sa fondation en 1949, la dynamique et les évolutions de la construction socialiste, et enfin le déclin de la RDA sont autant de thématiques abordées dans le film par les ex-citoyens de la RDA.

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  • Partie I - L'école, l'enfance et la jeunesse sous le socialisme

    Dans le documentaire « UNE AUTRE VIE » (DAS ANDERA LEBEN), découpé en quatre épisodes (sous-titre traduit en français et en anglais), onze allemands de l’est sont interrogées, donnant un aperçu de la vie quotidienne et du fonctionnement de la société en République Démocratique Allemande du point de vue de leurs histoires de vie. L'évolution globale de la RDA, les conditions de sa fondation en 1949, la dynamique et les évolutions de la construction socialiste, et enfin le déclin de la RDA sont autant de thématiques abordées dans le film par les ex-citoyens de la RDA.

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  • LA VIE SOUS LE SOCIALISME EN RDA

    Nous partageons le documentaire "UNE AUTRE VIE" (sous-titre en français) produit par la KO - organisation communiste en Allemagne - qui regroupe le témoignage de onze ex-citoyens de RDA sur leur vie sous le socialisme, révélant certains aspects des succès et des erreurs commises.

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  • WEEKEND FEDERAL D’ETE (2) : SOIREE DU PEUPLE « LA VIE EST A NOUS »

    Samedi 9 juillet, lors de notre weekend fédéral d’été à notre local, nous avons projeté le film de Jean Renoir « La Vie est à Nous », diffusé pour la première fois en 1936 durant la période électorale du Front Populaire. S’en est suivi un débat sur la lutte antifasciste menée par le mouvement communiste, comment organiser des initiatives de lutte auprès des masses, les limites et déviations de l’alliance électorale comme stratégie de prise de pouvoir etc.

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  • Soirée du peuple/Débat sur l'écologie réelle à Cuba

    Vendredi 17 juin s’est déroulée notre soirée du peuple sur le thème de l’écologie réelle à Cuba. Loin d’être un thème déconnecté des réalités pratiques du peuple cubain, le choix de l’écologie par les masses paysannes, l’Etat socialiste cubain et les villes s’est porté sur une nécessité de souveraineté alimentaire : répondre aux besoins à long terme, malgré l’embargo et la victoire de la contre-révolution dans les anciens pays socialistes d’Europe de l’Est.

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  • Diffusion de films d'animation soviétiques : Lutte idéologique & Propagande

    Jeudi 24/03 a été l’occasion de débattre après la diffusion de films d’animation soviétiques autour de la lutte contre le matraquage idéologique du capitalisme et de la nécessité de s’en affranchir pour penser une société nouvelle répondant aux besoins des travailleurs et non plus aux logiques de profit. La révolution socialiste de 1917, donnant naissance par la suite à l’Union Soviétique, a privilégié l’art cinématographique, considéré parmi tous les arts comme le plus important de tous selon Lénine.

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  • IL Y A 150 ANS: LES TRAVAILLEURS AU POUVOIR!

    • Le 18/03/2021

    Le 18 mars 1871, le petit peuple ouvrier et artisan chassait de Paris le gouvernement réactionnaire d’Adolphe Thiers, qui voulait désarmer le peuple. Peuple qui avait résisté vaillamment à l'occupation prussienne, provoquée par l'aventurisme de l'autocrate Louis-Napoléon Bonaparte.

     

     

    Visuel commune

     

     

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  • Noël de misère, Noël d'espoir!

    • Le 25/12/2020

     

    Noël 2020: Noël de misère, Noël d'espoir, Noël de lutte des classes!

    A bien des égards, Noël 2020 apparaît pour notre classe comme bien différent de celui de 2019.
    Il y a un an, des milliers de travailleurs grévistes avaient passé un réveillon combattif, sur les piquets de grève, dans les bourses du travail, opposant aux rigueurs de la lutte (et du climat !) la chaleur de la fraternité.
    Aujourd'hui, en cette veille d'un Noël entre deux couvre-feu, règne une atmosphère bien différente.

     

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  • Sur la situation en Biélorussie

     Depuis le 10 août, la Biélorussie est secouée par des manifestations contestant le résultat des élections présidentielles.
    Selon les résultats officiels, Alexandre Lukashenko, dirigeant de la République de Biélorussie depuis 1994, a été réélu avec 80% des voix.
    L'opposition, menée par Svetlana Tsikhanovskaïa, avait d'ores et déjà annoncé qu'elle ne reconnaîtrait pas les résultats si Lukashenko était déclaré vainqueur. Le soir du 10 août, elle s'est auto-proclamée vainqueure.
    Des affrontements entre soutiens de la candidate et forces de l'ordre  ont aussitôt éclatés dans les villes principales du pays.
    L'Union européenne a depuis prononcé des sanctions contre le gouvernement et soutenu les revendications de Tsikhanovskaïa.

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  • Le capitalisme assassine les travailleurs, luttons pour notre avenir !

    • Le 05/05/2020

    CORONAVIRUS, RISQUES SANITAIRES

    Des mesures tardives pour assurer des profits élevés

    Nous l’avons vu, malgré la propagation exponentielle du virus et sa forte mortalité, le gouvernement français a tardé à mettre en place des mesures sanitaires de grande ampleur. Le 4 février, quand nous découvrions dans les médias la construction en seulement dix jours d’un hôpital d’urgence en Chine, la porte-parole du gouvernement affirmait encore que le virus n’arriverait pas en France. Fin février, le virus s’était déclaré en Europe, précisément en Italie, pays frontalier de la France, avec de nombreux cas en Lombardie, mais le 6 mars, le président se rendait au théâtre, affirmant qu’il fallait continuer à vivre normalement. Le 15 mars, au lendemain de l’annonce de la fermeture des écoles et des universités, et à la veille de l’annonce de confinement, alors que la région parisienne et la région Grand-Est étaient déjà fortement touchées par la pandémie, le gouvernement maintenait le premier tour des élections municipales et nous encourageait à nous rendre tous aux bureaux de vote, malgré le grand risque sanitaire. Le confinement lui-même n’a jamais été total, et de nombreuses entreprises, au-delà de celles qui sont absolument essentielles pour produire les biens de première nécessité et du matériel médical, continuent de tourner, en faisant travailler les salariés sur site, en particulier dans l’industrie, puisque le télétravail n’est évidemment pas possible pour les ouvriers.

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  • Écologie bourgeoise ou écologie socialiste ?

    • Le 14/01/2019

    Le mode de production capitaliste épuise la biosphère* en prélevant plus qu'elle ne peut régénérer. Cela est reconnu par l'immense majorité des scientifiques : nous connaissons la sixième grande extinction de masse, qui pourrait emporter avec elle l'immense majorité de l'Humanité.

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  • Quelques éléments sur la situation politique actuelle

    Cela fait plusieurs semaines qu'une colère populaire, légitime s'exprime en France. Les salaires de misère, le chômage de masse, les conditions de travail sans cesse dégradée ont fait sortir du silence des dizaines de milliers de travailleurs.

    Face à cette grogne qu'il avait tenté d'instrumentaliser, le gouvernement et Macron ont été contraints de réagir en annonçant des mesures ridicules. La prétendue hausse de 100€ du SMIC consiste à une baisse des cotisations sociales de 20 € et à une augmentation de la prime d’activité de 80 € (augmentation déjà prévue...). Ce n’est pas une augmentation du salaire : les patrons ne vont rien payer de plus aux salariés !  De plus, tous les smicards ne touchent pas forcément la prime d’activité qui est calculée en fonction de différents paramètres (entre autres le temps de travail, la composition du foyer et les revenus du conjoint). Quand à la baisse de 20 euros des cotisations sociales, c’est une véritable régression. C’est le but du gouvernement, nous faire croire que notre pouvoir d’achat augmente en augmentant notre salaire net alors qu’il liquide notre droit à une santé gratuite (avec la Sécu) et à un revenu de remplacement quand on est expulsé de l'emploi (assurance-chômage).

    BFM et tout les autres chiens de garde du capital ne nous auront pas : personne n’a pu décider de renoncer au combat après une telle déclaration.

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  • Face à la montée du fascisme au Brésil et à la social-démocratie qui en est à l'origine : unité des travailleurs contre les monopoles capitalistes !

    Le 28 octobre aura lieu le second tour des élections présidentielles au Brésil. Le grand favori est Jair Bolsonaro le candidat de l'extrême droite brésilienne, qui a manqué l'élection dès le premier tour de peu avec 46,03% des voix.

    Les principaux soutiens de Jais Bolsonaro sont la police militaire, les églises évangélistes (finançant des milices fascistes comme les "Gladiateurs de l'Autel" et porte- voix de l'impérialisme US dans le pays) et le secteur de l'agro-industrie. A ces soutiens, l'ont rejoint les principaux secteurs industriels, regroupés au sein de l'Association du commerce extérieur du Brésil. Si Bolsonaro n'était à présent pas le premier choix de la bourgeoisie brésilienne, pas assez maléable à son goût, il est à présent son candidat officiel.
    Jais Bolsonaro n'est pas seulement réactionnaire de par ses opinions anticommunistes, ultra-libérales, misogynes, racistes, LGBTphobes...mais profondément fasciste: son programme est un programme de guerre civile contre le prolétariat brésilien et les couches populaires.

    Bolsonaro a ainsi fait le serment de laisser "carte blanche" à la police militaire pour "nettoyer" les favelas, d'armer les grands propriétaires terriens contre les paysans sans- terres, de supprimer tous les programmes sociaux instaurés par le Parti des Travailleurs (PT) et d'opérer des privatisations massives. Il fait aussi l'éloge constante de la junte militaire fasciste installé par les Etats-Unis en 1964, à laquelle il a directement participé en tant qu'officier. Plus grave encore, il se propose ni plus ni moins que d'écraser toutes les organisations ouvrières et populaires brésiliennes en déclarant "Ils seront bannis de notre pays. Ce sera une purge comme jamais le Brésil n'en a connue" à propos des militants ouvriers.


    Il est important de souligner qu'après la chute de la junte militaire en 1985, l'Etat brésilien n'a jamais été purgé de ses éléments criminels. Le Brésil ne peut pas être considéré comme une démocratie bourgeoise traditionnelle, d'autant plus que la police militaire n'a jamais cessé ces exactions contre les prolétaires des favelas et les militants ouvriers: ainsi, le 14 Mars 2018, a été assassinée Marielle Franco, conseillère municipale du Parti Socialisme et Liberté (scission de gauche du PT, proche du Parti Communiste Brésilien) de Rio de Janeiro après qu'elle ait dénoncé les crimes de la police militaire.

    Les élections qui se déroulent n'ont rien de démocratiques, même dans le sens bourgeois du terme: le favori et ancien président du Brésil, Lula Da Silva, est en prison, des millions d'électeurs pauvres ont été arbitrairement radiés des listes électorales. Le pays sort de plus de deux années d'intérim, suite à la destitution illégale de Dilma Roussef en 2016, de l'utltra-corrompu Michel Temer. Celui-ci n'a cessé d'attaquer les travailleurs brésiliens par de véritables saignées budgétaires, par la casse complète du droit du travail. Les protestations populaires ont toutes été violemment réprimées.

    Le PT, parti de Da Silva et de Roussef, s'est distingué par sa grande passivité: non seulement celui-ci n'a pas remis en cause les intérêts de la bourgeoisie brésilienne, y compris compradore, lorsqu'il était au pouvoir et a même initié des politiques d'austérité à partir de 2014; mais il est resté l'arme au pied pendant que la colère explosait un peu partout après avoir été chassé du pouvoir. Il a refusé toute confrontation avec l'Etat bourgeois, avant et après la destitution de Dilma Roussef, entraînant avec lui les directions de la CUT et de la CGTB. Sous la pression de la base, celles-ci ont tout de même du organiser des journées de grève générale, particulièrement suivies... mais sans qu'aucun plan de bataille ne soit fixé.


    Et alors que le PT poussait Lula à se rendre, alors que la classe ouvrière se préparait à défendre celui qu'elle estime toujours être le représentant de ses intérêts, il préparait la candidature d'un parfait inconnu, Fernando Haddad, qui ne cesse de multiplier les gestes rassurants vis à vis des monopoles brésiliens, envisageant même une alliance avec les partis ayant contribué à la chute de Dilma Roussef. Non seulement le PT a continué à enfermer la lutte des classes dans le jeu institutionnel de la bourgeoisie, mais a reconnu la légitimité de ces élections bidons.
    La responsabilité de la social-démocratie est donc immense dans la fascisation actuelle du Brésil: le PT a contribué à désorienter les masses et à jeter dans les bras du fascisme une partie d'entre elles, attirées par le discours démagogique de Bolsonaro. Rien ne dit que celle-ci pourra être enrayée par Fernando Haddad, s'il est élu. D'autant plus que plusieurs généraux ont affirmés être prêt à un coup d'Etat si ce dernier battait Bolsonaro.

    C'est pour cela que le Parti Communiste Brésilien, si à l'instar de tout les partis et organisations de la classe ouvrière, appelle à voter pour le candidat du PT au second tour, tout en refusant une alliance électorale avec lui (contrairement au Parti Communiste du Brésil- PCdoB) , il appelle également toutes les forces ouvrières, paysannes, démocratiques et anti-impérialistes à se regrouper au sein d'un front uni ouvrier et paysan:


    "Pour le PCB, la lutte antifasciste ne s’arrêtera pas après les élections. Il est fondamental de vaincre Bolsonaro aux urnes, de défendre les libertés démocratiques et de renforcer le pouvoir populaire pour faire face aux attaques qui vont venir. Il faudra poursuivre la lutte pour l'abrogation de toutes les contre-réformes du gouvernement Temer : la réforme du travail, la loi sur l'externalisation, la réforme de l'enseignement secondaire, la loi sur le plafonnement des dépenses, les privatisations, etc. Nous continuerons à lutter pour la défense de Petrobras en tant qu'entreprise d'État 100% publique et du pré-sal, contre la réforme de la sécurité sociale, pour l'expansion des droits politiques et sociaux et pour un programme qui sert les intérêts populaires, traçant la voie à la rupture avec le capitalisme et à la construction du socialisme.

    7 octobre 2018,
    Comité Central du PCB"


    Si voter Haddad est nécessaire pour la survie des organisations ouvrières et populaires brésiliennes, cela ne signifie pas pour le prolétariat brésilien de se battre sous la bannière de la démocratie bourgeoise!

    COMBATTRE LE FASCISME AU BRÉSIL, C'EST COMBATTRE L'ETAT BOURGEOIS ET LES MONOPOLES CAPITALISTES !
    COMBATTRE LE FASCISME AU BRÉSIL, C'EST LUTTER POUR LA RÉVOLUTION SOCIALISTE ET LE POUVOIR OUVRIER - PAYSAN !

    La Jeunesse Communiste des Bouches-du-Rhône s'engage à se tenir aux côtés de tous les militants ouvriers, paysans et révolutionnaires du Brésil qui luttent contre le fascisme et l'impérialisme, et en particulier ceux du Parti Communiste Brésilien.